Le don se pose après.
Pas avant.
Pas pour entrer.
Mais pour honorer ce qui a été traversé.
Tu viens.
Tu me communique ton nom, ton prénom, ta photo.
Je te reçois.
Et ce qui doit passer, passe.
Puis tu sens.
Tu écoutes.
Tu regardes ce qui a vibré.
Ce qui a bougé.
Ce qui t’a retrouvé.
Et si tu sens que c’est juste,
tu poses ton don.
En fonction de ton ressenti.
De ton envie.
De ton appel.
De ta vibration.
De ta volonté de te retrouver.
Ce don est un engagement.
Pas envers moi.
Envers toi.
Et si tu sens que ça ne passe pas,
si ton corps dit non,
si ton axe ne veut pas,
alors arrête là.
Ce n’est pas un frein.
Ce n’est pas un échec.
C’est que ce n’est pas l’heure.
Ou que je ne suis pas la bonne personne.
Alors je te salue.
Et j’honore ta venue.
Tu es venu.
Tu as osé.
Et cela est déjà un passage.
Je suis là.